SUITE À NOTRE COMMUNIQUÉ DU 20 AOÛT 2020
SOUS FORME DE LETTRE OUVERTE À MONSIEUR LE MINISTRE DES OUTRE-MER

 

 

UNE QUESTION « VITALE » : VOICI LA RÉPONSE D'OASIS RÉUNION !

 

 

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I - QUELLE EST LA PREMIÈRE ESTIMATION SÉRIEUSE DU TAUX RÉEL D'AUTONOMIE ALIMENTAIRE GLOBAL SUR L'ÎLE ?

Il serait légitime et pertinent de poser et de se poser la question de savoir pourquoi, à notre connaissance (après avoir beaucoup cherché), PERSONNE sur l'île, institutions comprises, n'a LA RÉPONSE à l'une des questions les plus essentielles, sinon la plus essentielle car « VITALE » :

 

« QUEL EST LE TAUX RÉEL D'AUTONOMIE ALIMENTAIRE GLOBAL À LA RÉUNION ? »

 

Selon les indications qui résultent de l'Enquête sur « la consommation familiale au domicile » que vient de réaliser une équipe d'OASIS RÉUNION, 

 

NOUS ESPÉRONS QUE CE CHIFFRE, CATASTROPHIQUE À DE NOMBREUX ÉGARDS, VA PROVOQUER UNE TRÈS FORTE RÉSONANCE (ET « RAISONNANCE » !) SUR L'ÎLE.

 

Comment avons-nous pu, imperceptiblement et insidieusement, en arriver là ?
Nous avons des éléments de réponse à vous communiquer...

 

 

 

II - QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE :
• L'AUTONOMIE ALIMENTAIRE
et • L'AUTONOMIE ALIMENTAIRE « DURABLE » ?

 

Il y autant de différence entre « l'autonomie alimentaire » et « l'autonomie alimentaire durable » 
qu'entre le jour et la nuit !

Pourquoi ?

Parce qu'il ne saurait y avoir de RÉELLE « AUTONOMIE » ALIMENTAIRE
avec une agriculture « DÉPENDANTE » : 
. des produits de fertilisation
. des produits de traitement
. des produits de conservation
issus de la pétrochimie, qui sont importés à 100% sur l'île.

Il en va de même avec les aliments, médicaments, compléments nécessaires aux élevages intensifs quasi industriels
avec en prime des OGM dans 90% des soja et maïs consommés par les animaux.

 

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CONCLUSION

 

TOUT CECI EXPLIQUE LES OBJECTIFS D'OASIS RÉUNION

▶︎ pour « une AGRICULTURE 100% bio » (ce qui ne veut pas dire que les produits qui en sont issus sont eux-mêmes 100% bio !) avec des semences locales et paysannes, dans la diversité, la saisonnalité, la qualité contrôlée,
viable, vivable, et durable

et

▶︎ pour « une ALIMENTATION saine, sûre, consommée de manière écoresponsable, pour tout le monde, au juste prix »

Cette alimentation biologique, non seulement ne sera pas plus chère, mais sera moins coûteuse grâce à la suppression de la pollution, en particulier celle de l'eau (ruineuse), à la diminution des maladies dégénératives, et à la réduction drastique du gaspillage (1/3 de la production) à tous les stades, du champ à l'assiette. 

 

 

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